Cette semaine, des lambeaux du Vieux collés aux talons, Narine se payait la « Grosse Pomme » .
A l’invitation de l’obèse médiacrassie cosmopolite, notre informe « madone à pédés »s’est donc rendue, toute frétillante, à la Nouvelle-York où l’attendait sa belle médaille en chocolat . On la voit d’ici, la bougresse, se goberger pendant que le daron fulmine à l’hosto, se bâfrer de petits fours (n’y pensez même pas !) et couiner de contentement tandis qu’elle barbote au fin fond du gogue oligarchique, flanquée de son épais vendeur de chauffe-eau avec lequel, n’en doutons pas, elle n’aura pas oublié d’écluser à l’hôtel ce que le mini-bar avait de tord-boyaux à cracher, avant de se livrer à une bruyante séance de coït porcin dans le jacuzzi .
Sûr que ça lui a bien plu, à la parricide greluche, de traîner ses guêtres de traîtrise le long des tapis rouges, de laper l’huile à sa source, d’offrir aux flashes de la presse yankee son sourire de hyène constipée, entre deux selfies opiniâtrement arrachés à quelque putain lippue d’Hollywood, pendant que son gros Loulou dévalisait le buffet et que, de l’autre côté de l’océan, en Gaule occupée, le Menhir se maudissait de ne l’avoir pas noyée à la naissance !
«Je ne parle pas anglais, moi. Je suis française !»,
aurait fièrement lancé la dame-pipi endimanchée à la meute de journalopes présente qui, si cons puissent être les animaux en question, ne s’en est pas laissé conter, à la différence du troupeau degroupies narinistes qui, lui, a aussitôt mouillé sa culotte de joie .
Merde alors ! Camoufler son ignardise crasse de la sorte, voilà qui est rudement gonflé ! A défaut de jacter l’angliche, on maîtrise déjà l’art sinueux de la chutzpah ! Chapeau bas ! Combien de crétins, ici, ont salué cette ânerie, très sincèrement prise pour une manifestation de défiance vis à vis de l’impérialisme ricain, loué leur néo-Jeanne d’Arc pour sa témérité, oubliant dans l’instant que Narine s’était précisément tapé huit heures d’avion et cinq de ravalement de façade pour le plaisir de lécher les orteils du gratin apatride ! Ha !
Quelle misère que de voir ce parti, porté par vents et marées, des décennies durant, par une légion de cadres solides, de vaillants militants – prêts à tout perdre, à se faire quotidiennement cracher dessus, universellement conchier et régulièrement péter la gueule -, tomber aux mains d’une bande de serpillères vendues jusqu’à l’os et n’ayant pour seul horizon la sale gamelle de l’Ennemi …
Aucun doute possible, le FN est bel et bien «dédiabolisé» . La preuve : il récure les chiottes de Pandémonium avec la langue .





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et Naomi Campbell. Ce n’est pas la première fois que Marine Le Pen-Judas se rend aux Etats-Unis pour faire allégeance aux lobbies et recevoir le prix de sa trahison politique et morale, ses trente deniers. En novembre 2011, alors candidate à la présidentielle de 2012, elle s’était rendue à New York et Washington et avait rencontré l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Ron Prosor, lequel avait reconnu avoir « beaucoup apprécié » (sic !) l’échange chaleureux qu’il avait eu avec Marine Le Pen. En 2004, alors qu’elle n’était presque rien statutairement au Front national, elle était allée se recueillir sur les ruines du World Trade Center, avait dénoncé la politique excessivement anti-américaine de Jacques Chirac par rapport à l’Irak (il faut le faire !) et avait rencontré en grande pompe de puissantes et opulentes organisations sionistes. C’est dire que la carrière de Marine Le Pen a été couvée, préparée, encadrée, accompagnée, favorisée, accélérée par le lobby dont feu François Mitterrand jugeait « l’influence puissante et nocive ». Maintenant qu’elle se sent suffisamment puissante et riche, forte de ses soutiens avouables et inavouables (on sait qu’elle entretient ainsi d’excellents rapports avec la très extrémiste Ligue de défense juive !), elle n’hésite pas à se débarrasser de son père devenu gênant comme d’une vieille chaussette. Elle le congédie comme un laquais. Elle l’appelle d’ailleurs avec mépris « Papy Daniel ». Elle s’est servie de lui quand elle en avait besoin pour pouvoir lui succéder à la tête du mouvement et maintenant qu’il ne lui est plus utile, et qu’il est même encombrant pour sa carrière, elle le jette comme un kleenex usagé, comme l’amant d’une nuit qu’on prie de déguerpir et de ne jamais plus revenir. En 2011, l’année de son élection à la présidence du FN, Marine Le Pen avait déjà eu droit aux honneurs de Time qui l’avait intégrée pour la première fois dans le cercle restreint des cent personnalités les plus influentes dans le monde. C’est dire que l’usurpatrice illettrée est depuis fort longtemps intégrée au Système qui nous opprime et nous détruit.